Maghreb Émergent

Top Menu

  • Radio M Live Stream

Main Menu

  • Accueil
  • Actualité
    • Á la une
    • Brèves
      • Brèves Maghrébines
      • Brèves Monde
    • Maghrébine
    • Internationale
    • Communiqués
  • Économie
    • Algérie
    • Tunisie
    • Maroc
    • Libye
    • Maghreb
  • Finance
    • Banque
    • Assurances
    • Bourse
  • Énergie
    • Hydrocarbures
    • Électrique
    • Renouvelable
  • Politiques publiques
    • Algérie
    • Tunisie
    • Maroc
  • Entreprise
    • Algérie
    • Tunisie
    • Maroc
  • Environnement
  • High-Tech
    • Télécoms
    • IT (Information & Technology)
    • Internet
    • Entreprise
    • Éditos
  • Contributions
    • Idées
    • Opinions
  • Radio M
    • Café des Experts Éco
    • Café Presse Politique
    • Doing DZ
    • L’entretien
    • L’invité du Direct
    • Flash infos
      • Le point de l’actu éco
      • Hashtag News
  • Radio M Live Stream

logo

AA - Protégez Votre Business - 728x90 - FR

Maghreb Émergent

  • Accueil
  • Actualité
    • Á la une
    • Brèves
      • Brèves Maghrébines
      • Brèves Monde
    • Maghrébine
    • Internationale
    • Communiqués
  • Économie
    • Algérie
    • Tunisie
    • Maroc
    • Libye
    • Maghreb
  • Finance
    • Banque
    • Assurances
    • Bourse
  • Énergie
    • Hydrocarbures
    • Électrique
    • Renouvelable
  • Politiques publiques
    • Algérie
    • Tunisie
    • Maroc
  • Entreprise
    • Algérie
    • Tunisie
    • Maroc
  • Environnement
  • High-Tech
    • Télécoms
    • IT (Information & Technology)
    • Internet
    • Entreprise
    • Éditos
  • Contributions
    • Idées
    • Opinions
  • Radio M
    • Café des Experts Éco
    • Café Presse Politique
    • Doing DZ
    • L’entretien
    • L’invité du Direct
    • Flash infos
      • Le point de l’actu éco
      • Hashtag News
Algérie
Home›Politiques publiques›Algérie›Rachid Sekak : L’Algérie peut souscrire une assurance lui garantissant un certain niveau de revenus pétroliers

Rachid Sekak : L’Algérie peut souscrire une assurance lui garantissant un certain niveau de revenus pétroliers

Par Yacine Temlali
12 novembre 2015
107
4
Partage:

Dans le paysage économique algérien, Rachid Sekak présente le profil rarissime d’un expert financier ayant exercé des responsabilités élevées aussi bien dans le secteur public que dans le secteur privé, en Algérie et à l’étranger..Dans l’interview exclusive qu’il a accordée à Maghreb Emergent, il livre un diagnostic à la fois précis et nuancé sur la situation financière du pays. Il tente également d’ouvrir quelques pistes de réflexion à propos de la gestion de nos marges de manœuvres économiques et financières.

 

 

Maghreb émergent : Quelle lecture faites-vous de la situation financière du pays et de ses perspectives pour les prochaines années ?

Rachid Sekak : Un constat s’impose dès à présent. La situation des finances publiques est plus tendue que celle de la balance des paiements. Le niveau actuel des réserves de change, qui se situaient à 159 milliards de dollars à fin juin 2015, procure une certaine visibilité à la balance des paiements pour peu que le prix du baril évolue entre 50 et 70 dollars et que la quantité d’hydrocarbures exportés cesse de reculer au cours des 4 ou 5 prochaines années. A contrario, la situation des finances publiques est plus tendue et nécessite un ajustement fort et immédiat.

C’est une situation qui m’inspire plusieurs commentaires : Tout d’abord, les facteurs sous-jacents à la baisse du prix du pétrole, qui est à l’origine de la fragilisation de notre situation financière, sont largement en dehors du contrôle de l’Algérie. Nous n’avons aucune emprise sur les prix internationaux. Ensuite, la conjoncture, révélatrice de nos vulnérabilités, nous impose d’agir et de nous ajuster pour atténuer les menaces qui en découlent sur notre développement économique et nos équilibres sociaux. Les hydrocarbures représentent en, effet, un tiers de notre PIB, près des deux tiers de nos recettes budgétaires et 98 % de nos exportations. Mais cette conjoncture difficile et complexe offre aussi une excellente opportunité d’introspection et de prise de virage audacieux, pour construire une nouvelle vision économique et modifier nos modes de fonctionnement et de régulation.

Une note d’optimisme, néanmoins : comme cela a été relevé par beaucoup d’experts, notamment ceux du Fonds monétaire international (FMI), nos marges de manœuvre sont plus importantes qu’en 1986. Nous disposons de réserves de change conséquentes, gérées avec prudence par la Banque centrale d’Algérie. Notre dette extérieure est faible (environ 3 milliards de dollars) et bon marché (le service de la dette représente 1 % de nos exportations). Et notre dette publique est actuellement relativement modeste.

Mais ces marges de manœuvre bien réelles ne doivent surtout pas être avancées pour justifier un statu quo. Il ne s’agit pas de ne rien faire car la fenêtre de tir est étroite. Il ne faut ni s’alarmer, ni s’endormir, mais bouger dans la bonne direction avec ambition et courage. Est –ce le cas actuellement ?

Les équilibres budgétaires étant actuellement les plus menacés, est-ce que les mesures prises dans la loi de finances complémentaire pour 2015 et celles annoncées pour la loi de finances pour 2016 vous paraissent suffisantes ?

Je dirais que les mesures annoncées vont dans le bon sens mais traduisent une sensibilité qui accorde un primat aux équilibres sociaux par rapport aux équilibres économiques. Les mesures prises, notamment à travers une réduction des dépenses d’équipement plus sensible que les celle des dépenses courantes, suggèrent qu’implicitement, on attend un retournement du marché pétrolier. On est donc dans une démarche qui recherche un ajustement à la conjoncture et non pas des réformes structurelles 

Or, soyons clairs, la baisse du prix du pétrole n’est pas la cause de la crise ; elle n’en est que le révélateur. Refuser cette évidence c’est aussi refuser de remettre en cause un modèle économique obsolète basé sur la rente et la dépense budgétaire.

Le principal problème c’est qu’on ne voit pas actuellement démarrer les grands chantiers de réforme. Pour ne citer qu’un seul exemple : nous devons arrêter de subventionner les riches. La politique de subventions tout azimuts mise en œuvre depuis plusieurs décennies est non seulement coûteuse mais elle créé également une forte demande d’importations et induit une consommation excessive d’énergie, notamment de carburants et d’électricité. Elle est, en outre, injuste parce qu’elle bénéficie en fait principalement aux couches les plus aisées de la population. On peut faire mieux avec moins de ressources financières en élaborant un système de transferts monétaires directs en direction des couches les plus défavorisées. Il est souhaitable de subventionner les ménages plutôt que les produits.

Quelles sont les marges de manœuvre dont dispose encore le gouvernement en matière de gestion des finances publiques ?

Les marges de manœuvre dans ce domaine sont de plusieurs natures. La première est l’utilisation du Fonds de régulation des recettes de l’Etat (l’épargne budgétaire), dont les ressources étaient à fin juin dernier, selon les chiffres de la Banque d’Algérie, de 3.341 milliards de dinars et seraient clairement épuisées, toutes choses égales par ailleurs, vers la fin 2016 ou le début 2017.

La seconde option est l’augmentation de la dette publique qui est actuellement faible et représente environ 8% du PIB. Cette option pose deux questions importantes : le marché local des capitaux peut-il absorber l’accroissement attendu de la dette publique ? Il faudrait y trouver entre 23 et 28 milliards de dollars en équivalent dinars ! Par ailleurs, le pilotage monétaire du pays sera complexe dans un contexte de forte réduction attendue de la liquidité bancaire où les variables comme l’inflation, la hausse des taux et le risque d’éviction de l’investissement privé par le Trésor public seront difficiles à optimiser. Il y a, certes, aussi la possibilité de lancer un emprunt national auprès de la population. Mais est-ce que les conditions de succès d’une telle opération sont remplies actuellement ?

En fait, il faudrait, sans doute, à l’étape actuelle, privilégier et accélérer plutôt le développement du marché des capitaux. Il permettra de moderniser la gestion des entreprises publiques et privées et une meilleure absorption de notre dette publique, tout en élargissant le champ des possibilités de financement pour les entreprises.

D’autres pistes doivent aussi être explorées. Les dépenses courantes de l’Etat ont doublé entre 2008 et 2015. N’est-ce pas là un indice de gaspillage ? Par ailleurs, qui ne s’interroge pas sur l’efficience de nos investissements publics et sur leurs processus de maturation, d’exécution et de contrôle ? La rationalisation des dépenses publiques s’impose.

Quelle appréciation faites-vous de la gestion de la valeur du dinar par la Banque d’Algérie au cours des derniers mois ? La dévaluation du dinar par rapport au dollar et à l’euro risque-t-elle de se poursuivre ? Avec quelles conséquences ?

La Banque d’Algérie est dans son rôle en procédant à des ajustements progressifs de la valeur du dinar. A cette occasion, elle donne aussi clairement un petit coup de main aux finances publiques en accroissant mécaniquement le niveau de la fiscalité pétrolière. On peut supposer que le gros de l’ajustement dans ce domaine a déjà été fait et que les éventuels ajustements à venir dépendront essentiellement du niveau d’inflation observé en Algérie par rapport à celui de nos principaux partenaires commerciaux.

Les mesures prises par la Banque d’Algérie depuis un peu plus d’une année en matière de contingentement des crédits destinés au financement du commerce extérieur ne semblent pas, pour l’instant, avoir produit d’effets significatifs en matière de réduction des importations. Comment expliquez-vous leur faible efficacité ? Ces mesures, renforcées au cours de l’été dernier, sont-elles porteuses de risques en matière de financement des investissements et des approvisionnements des entreprises productives ?

La révision à la baisse du ratio des engagements extérieurs est un instrument d’une efficacité redoutable qui aura, sans aucun doute, des effets déflationnistes sur le niveau des importations. A condition que les importateurs n’arrivent pas à remplacer le crédit documentaire par la remise documentaire comme mode de règlement des importations, ce qui suppose une disponibilité du fournisseur à expédier sa marchandise sans engagement bancaire. Mais il semble clair qu’une réflexion doit être menée pour atténuer les effets restrictifs de la nouvelle réglementation qui touche aussi bien les activités de revente en l’état que les activités productives génératrices de croissance et d’emplois.

Si la gestion des déséquilibres de la balance des paiements s’annonce moins tendue que celle du budget de l’Etat, une baisse encore plus importante et prolongée des cours pétroliers ne semble pas exclue. Existe-t-il dans cette hypothèse des instruments financiers susceptibles de se substituer au recours pur et simple à la consommation des réserves de change, une solution qui semble adoptée jusqu’ici ?

Des mécanismes simples de couverture financière sont disponibles, qui peuvent permettre à l’Algérie, si elle en fait le choix, de s’assurer contre les effets d’une possible poursuite de la baisse des prix du pétrole.

Les Etats (ou bien les compagnies pétrolières nationales) peuvent, en effet, souscrire des produits d’assurance qui leur assurent un niveau garanti de revenus pétroliers. En contrepartie du versement d’une prime, l’institution qui émet la protection s’engage à compenser les pertes de recettes qui surviendraient lorsque le prix du baril de pétrole passerait en dessous du prix fixé dans la garantie. La souscription de l’assurance d’un prix plancher prend la forme de l’achat d’options.

Si, par exemple, un Etat souscrit une couverture pour un prix du baril à 50 USD, et que le prix du baril s’établit à 30 USD, il reçoit une compensation qui correspond à l’intégralité des pertes de recettes par rapport au prix de référence de 50 USD. Ce qui revient de facto à s’assurer d’un prix-plancher du baril de pétrole à 50 USD.

A titre de référence, s’assurer il y a quelques mois pour un prix du baril à 50 USD coûtait approximativement 3 USD par baril. Si le prix du baril sur les marchés spot passe à 30 USD, l’Etat qui a souscrit l’assurance se voit donc indemnisé et reçoit 20 USD. Si le prix du baril s’établit par exemple à 70 USD, l’Etat qui s’est assuré ne reçoit pas de compensation, mais ne débourse rien non plus.

Le Mexique assure de cette manière l’intégralité de ses revenus budgétaires tirés du pétrole (un tiers de ses recettes totales) depuis le début des années 1990. L’adoption de ces mécanismes d’assurance a ainsi permis au Mexique de recevoir, par exemple, une compensation de 9 milliards USD en 2009 suite à la chute des prix du pétrole.

En Algérie, la couverture pour s’assurer d’un prix plancher pourrait être souscrite soit par la Sonatrach, soit (plus logiquement encore) par le Fonds de régulation des recettes. Ce fonds, en souscrivant ces mécanismes d’assurance, remplirait ainsi pleinement sa fonction d’assurer un « lissage » des revenus budgétaires tirés du pétrole pour le pays. Le temps d’une plus grande modernité financière n’est- il pas arrivé ?

Propos recueillis par Hassan Haddouche

 

Le dessin à la Une est signé « Yacine » et publié sur Econews. 

TagsAlgérieAssurancebaissebudgetcrisedette internedettesempruntEndettementFonds de régulation des recettesMexiquePétroleprixRachid Sekakarevenus
Previous Article

Pourquoi Bernard-Henri Lévy reste inaudible pour les ...

Next Article

Affaire Saipem : Le parquet de Milan ...

0
Shares
  • 0
  • +
  • 0
  • 0

Articles Liés Du même auteur

  • Brèves Maghrébines

    Tunisie: Saisie au Kef de marchandises de contrebande en provenance d’Algérie

    5 décembre 2017
    Par Mohamed Boukhalfa
  • Actualités

    La sortie du Royaume-Uni de l’UE promet une autre épreuve à une économie algérienne fragile

    24 juin 2016
    Par Mohamed Zenina
  • Brèves Maghrébines

    Algérie:Les emballages des produits alimentaires constituent 32% des déchets ménagers (AND)

    17 avril 2017
    Par Maghreb Émergent
  • Algérie Cisco American Corner
    IT (Information & Technology)

    « MTS Experience Days » : Quand enseignement de l’anglais et des TIC font bon ménage

    3 mars 2015
    Par Administrateur
  • Bourse

    Slim Othmani : « Le mode de fonctionnement de la Bourse d’Alger encourage la décote des titres »

    21 mai 2015
    Par Yazid Ferhat
  • Maghrébine

    Omar Habour, cité dans le scandale Saipem, a alimenté des comptes bancaires de l’épouse de Chakib Khelil (presse)

    11 mai 2016
    Par Yacine Temlali

4 comments

  1. Truc 12 novembre, 2015 at 16:32 Répondre

    Ainsi, d’après M Sekkak les instruments de couverture semblent être la panacée des pertes de recettes pétrolières…

    Il oublie simplement de nous dire que les vendeurs d’options ne sont pas la moitié d’un imbécile et qu’étant des professionnels, ils évaluent le risque et quottent en fonction des prix actuels et surtout des perspectives de prix futures….

    Ainsi pour reprendre l’exemple qu’il nous a donné avec un baril à 50 USD actuellement et s’il on désire se couvrir avec un baril disons de 60 USD en 2016, cela ne m’étonnerait pas que l’on vous demande une dizaine de Dollars, c’est à dire ce que l’on reçoit si l’année prochaine le pétrole reste à 50 USD…

  2. Rachid Sekak 13 novembre, 2015 at 05:31 Répondre

    M. Truc . Vous avez raison l’utilisation d’options n’est pas la panacée et les opérateurs sont rationnels . Mais cela permet sans aucun doute d’éviter les mauvaises surprises avec le prix de référence utilise pour fixer le budget ? Non . Pour votre exemple , pour l’an prochain le prix de référence a été fixé à 45 dollars ( je crois ) et pas à 60 dollars ……..sommes nous certains que le pétrole sera à 45 dollars et pas en dessous . Bonne journée à vous . Rachid

  3. mal bs 16 novembre, 2015 at 02:58 Répondre

    Il eût fallu penser a ce genre d’assurance lorsque le pétrole était à $120/baril. A présent le train est déjà passé, le risque vers le bas est limité et l’assurance n’est jamais gratuite. Merci pour le conseil mais il arrive 18 mis trop tard.

  4. Antipo 16 janvier, 2016 at 13:15 Répondre

    La priorité n’est plus de savoir si le pétrole va continuer à faire rentrer des flots de devises dans le pays ni comment on peut s’en assurer mais bien de se préparer à la sortie du pétrole de façon pragmatique et constructive.
    Que le pétrole représente 98% des exportations est ahurissant quand on connait le potentiel exportable de l’Algérie. A l’heure des nouvelles énergies il faut intégrer le fait que les revenus du pétrole doivent être remplacées par d’autres exportations et travailler sur cet item.

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Ceci pourrait vous intéresser

  • Internationale

    Attentats de Barcelone: La police confirme avoir tué le dernier suspect

  • Renouvelable

    Le Maroc, dragon naissant du solaire, miroir de la panne algérienne du renouvelable

  • Algérie

    Les nouveaux maillots de l’EN sont épuisés dans les magasins PUMA en Algérie

Brèves

Algérie: Suspension de l’alimentation en eau potable lundi et mardi prochains à l’Ouest d’Alger

Tunisie: Revue de presse du vendredi 22 février

Mauritanie: Coup d’envoi des travaux d’extension de centres hospitaliers de Nouakchott

Algérie: Installation du Conseil national interprofessionnel de la filière maraîchère

Tunisie: L’appareil sécuritaire prêt pour sécuriser et assurer le bon déroulement des élections (ministre)

Loading...

Voir toutes les brèves
Condor-Allure-m3
Général Emballage
  • Recent

  • Popular

  • A Alger, les forces de l’ordre empêchent les manifestants de marcher vers la Présidence

    Par Aboubaker Khaled
    22 février 2019
  • Algérie-5eme mandat : des manifestations tenues dans différentes communes de Bouira

    Par Maghreb Émergent
    22 février 2019
  • ZEROUAL

    Algérie : L’ancien président Liamine Zeroual salue les manifestants anti 5è mandat

    Par Younes Saâdi
    22 février 2019
  • Algérie : Des manifestations hostiles au 5eme mandat organisées dans différentes régions du pays

    Par Younes Saâdi
    22 février 2019
  • Algérie-5ème mandat : Des milliers de manifestants devant le Palais du gouvernement à Alger

    Par Aboubaker Khaled
    22 février 2019
  • Maroc- Peugeot va ouvrir une usine à Kénitra pour le marché Afrique-Moyen Orient

    Par Yazid Ferhat
    20 juin 2015
  • La nouvelle cimenterie Lafarge Algérie de Biskra opérationnelle en 2015

    Par Administrateur
    11 mars 2014
  • Le logement public pour les non-résidents : Une réelle source de devise pour l’Algérie (contribution)

    Par Yazid Ferhat
    17 septembre 2015
  • Crédit auto

    Le crédit-auto sera au rendez-vous des véhicules Renault «made in Algeria»

    Par Administrateur
    31 janvier 2014
  • Crédit auto

    Le crédit-auto sera au rendez-vous des véhicules Renault «made in Algeria»

    Par Administrateur
    31 janvier 2014

Facebook

Nos réseaux sociaux

Copyright Interface Médias 2018. Tous droits réservés